Au cours de l’hiver, une crue a lieu dans le Marais poitevin. Elle induit des comportements animaliers particuliers. La petite faune du sol se réfugie sur des îlots aériens. Des chevreuils et une chouette effraie sont contraints de sortir du marais pour continuer de s’alimenter. Pendant ce temps, le martin-pêcheur voit ses surfaces de pêche s’agrandir. Au moment de la décrue, certains invertébrés n’ont pas survécu. Les grands échassiers et des passereaux en profitent pour se nourrir. Puis, le printemps est de retour dans le marais. Les insectes s’activent et les oiseaux entament leur cycle de reproduction. Avec le temps, la vie a trouvé un équilibre entre la terre et l’eau.
Au cours de l’hiver, une crue a lieu dans le Marais poitevin. Elle induit des comportements animaliers particuliers. La petite faune du sol se réfugie sur des îlots aériens. Des chevreuils et une chouette effraie sont contraints de sortir du marais pour continuer de s’alimenter. Pendant ce temps, le martin-pêcheur voit ses surfaces de pêche s’agrandir. Au moment de la décrue, certains invertébrés n’ont pas survécu. Les grands échassiers et des passereaux en profitent pour se nourrir. Puis, le printemps est de retour dans le marais. Les insectes s’activent et les oiseaux entament leur cycle de reproduction. Avec le temps, la vie a trouvé un équilibre entre la terre et l’eau.
Au fil de la crue